CNUCED

La zone de libre-échange continentale africaine, opportunité de dynamiser le commerce intra-africain

La CNUCED aide les pays africains à faire face aux crises qui se chevauchent. La zone de libre-échange continentale africaine offre une opportunité de dynamiser le commerce intra-africain. Les pays africains doivent diversifier leurs exportations et renforcer leurs capacités productives, accélérer la croissance économique et répondre aux priorités nationales, et bâtir des économies plus résilientes tout en créant des emplois plus qualifiés.

La CNUCED a appelé à soutenir d'urgence les pays en développement afin de leur permettre d'attirer beaucoup plus d'investissements pour leur transition vers les énergies propres.

Après deux trimestres consécutifs de baisse, le commerce mondial de biens et services a rebondi entre janvier et mars 2023. Mais les perspectives pour le reste de l'année sont sombres.

La CNUCED vient de lancer une nouvelle version de son indice des capacités productives (ICP) afin d'aider les pays à établir des diagnostics et des mesures plus précis de leur performance économique. Alors que les grands indicateurs économiques tels que le PIB mesurent la production économique, l'ICP propose une nouvelle approche pour mesurer les progrès en matière de développement. L'indice mesure la capacité des pays à produire des biens et à fournir des services, ce qui est essentiel pour le commerce international et les chaînes de valeur de la production mondiale.

L’Angola dispose d'un vaste littoral, d'une main-d'œuvre abondante dans le secteur de la pêche et de bonnes relations commerciales avec les principaux importateurs de poisson d'Europe et d'Asie. La CNUCED aide ce pays à créer davantage d'emplois et d'opportunités commerciales, renforcer la sécurité alimentaire, améliorer les moyens de subsistance et réduire la pauvreté en exploitant davantage l'économie bleue, c'est-à-dire l'utilisation durable des ressources océaniques à des fins de croissance économique.

Les Nations Unies saluent la décision de prolonger l'Initiative, qui a permis le transport de plus de 30 millions de tonnes de denrées alimentaires, contribuant ainsi à faire baisser les prix et à stabiliser les marchés mondiaux.

Le rapport  de la , publié le 8 mai, dresse un état des lieux de l'économie océanique mondiale - d'une valeur estimée entre 3 et 6 000 milliards de dollars. Il analyse la façon dont l'activité humaine et les crises ont affecté les différents secteurs océaniques, comme la pêche, les produits de la mer, le transport maritime et le tourisme côtier.

La accueille la troisième édition du  les 8 et 9 mai 2023. Il se concentrera sur les politiques commerciales qui peuvent aider les pays à développer leur économie tout en s'attaquant aux défis mondiaux urgents et en accélérant les progrès vers la réalisation des objectifs de développement durable de l'ONU.

Dans sa dernière  publiée le 12 avril, la  avertit que les pays en développement sont confrontés à des années de difficultés alors que l'économie mondiale ralentit dans un contexte de turbulences financières accrues.

Mavilde de Assunção Alves pratique l'apiculture depuis près de 15 ans. Chaque semaine, elle installe une table pour vendre son miel sur la route principale ou au marché local de Bailundo, une ville de la province centrale de Huambo, en Angola. 

Le commerce mondial a atteint une valeur record de 32 000 milliards de dollars en 2022. Toutefois, la croissance est devenue négative au cours du dernier semestre de l'année et devrait stagner au premier semestre 2023. La bonne nouvelle est la bonne performance du commerce des « produits verts », dont la croissance est restée forte tout au long de l'année, , publiée par la CNUCED le 23 mars.

L'Initiative céréalière de la mer Noire (en anglais), signée à Istanbul le 22 juillet 2022 pour permettre la reprise des exportations de denrées alimentaires vitales et d'engrais depuis certains ports maritimes ukrainiens, a été prolongée. Depuis la signature, 25 millions de tonnes de céréales et de denrées alimentaires ont pu être acheminées vers 45 pays.

Un nouveau rapport de la appelle les gouvernements et la communauté mondiale à assurer la cohérence entre les accords internationaux sur le commerce, la propriété intellectuelle et le changement climatique afin de réduire le fossé des technologies vertes.

Les femmes sont le moteur du commerce dans les pays les moins avancés, et nombre d'entre elles gèrent de petites entreprises transfrontalières. Les cours en ligne que propose la permettent aux participantes de concevoir et de mettre en œuvre des politiques pour combler les écarts entre les sexes dans le domaine du commerce.

Une nouvelle plateforme conçue par la permet aux employés du gouvernement de créer en ligne leurs propres services adaptés aux besoins des citoyens. Cette plate-forme unique et révolutionnaire a déjà valu au Bhoutan d'être reconnu comme le pays le plus rapide au monde pour créer une entreprise.