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La COVID-19 est une zoonose, c'est-à-dire qu'elle passe des animaux aux êtres humains, et est donc étroitement liée aux terres sur lesquelles ils vivent. L'activité humaine et économique érode les espaces sauvages, les forêts et d'autres écosystèmes importants, nous rapprochant des «&Բ;hôtes réservoirs » : des animaux et des plantes qui peuvent abriter des maladies. Frank Turyatunga, directeur adjoint du bureau régional du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) pour l'Afrique, fait part de ses réflexions sur la manière de mieux protéger les paysages du continent.

Résumé de la journée mondiale de l'environnement 2020

Même si la Journée mondiale de l’environnement est passée, celui-ci ne va pas attendre la prochaine journée pour que nous élevions nos voix. Il est toujours le temps de la nature.

Le moment est venu de donner la priorité à la Nature

« En abîmant le monde, nous courons à notre propre perte », souligne le Secrétaire général António Guterres, dans son message publié à l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement. « Si nous voulons prendre soin de l’humanité, nous DEVONS prendre soin de la nature. ».

Enseignants, étudiants, parents, enfants et familles sont invités à créer des vidéos sur les raisons pour lesquelles nous devons préserver les océans. 

 

Il est urgent d'agir pour sauvegarder la biodiversité des forêts mondiales face aux niveaux élevés de déforestation et de dégradation, souligne la dernière édition du , produit par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). La crise du COVID-19 a mis en lumière l'importance de conserver et d'utiliser de manière durable la nature car la santé des populations est intrinsèquement liée à la santé des écosystèmes.

Le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) intensifie son travail dans le domaine de la cartographie des menaces zoonotiques et de protection de la nature afin de réduire le risque de futures pandémies. 

Découvrez cette vidéo qui nous parle de la relation délicate entre l'homme, la faune et les agents pathogènes qui circulent entre eux dans le contexte de la pandémie de COVID-19.

Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) propose, avec des partenaires, « L’Ecole de la Terre » : un contenu éducatif gratuit et de qualité pour aider les élèves, les parents et les enseignants qui sont actuellement à la maison.

Si le monde entrevoit un avenir effrayant à la suite de l'émergence de la COVID-19, l'avenir de notre planète dans un scénario où le réchauffement des températures se situerait entre 3 à 4° C nous amènerait à un niveau d'incertitude entièrement différent, y compris en termes de santé. Le Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et d'autres organismes estiment que les plans de relance budgétaire à grande échelle sont une occasion de mettre les économies et les sociétés sur une voie plus résistante et plus verte.

L'Agence des océans, partenaire du PNUE, vous invite à explorer les océans et leurs formes de vie étonnantes... de chez vous.

L'être humain et les grands singes sont sensibles aux maladies infectieuses. L'introduction d'agents pathogènes humains au sein de la population de grands singes pourrait entraîner des pertes catastrophiques.

Il peut être difficile d'occuper vos enfants lorsque vous travaillez également à domicile. Voici quelques idées pour enseigner à vos enfants le problème de la pollution plastique.

Chaque année, des individus ou des organisations ayant apporté une contribution remarquable à la protection de l'environnement sont récompensés. Le processus de désignation pour l'année 2020 est ouvert !

Bien qu'elles ne couvrent qu'environ 6 % de la surface terrestre, 40 % de toutes les espèces végétales et animales vivent ou se reproduisent dans des zones humides. Celles-ci sont donc vitales pour l’homme et pour le bon fonctionnement de nos écosystèmes.

Coronavirus : un message de la nature

La nature souffre et nous envoie un autre avertissement avec la pandémie de COVID-19, s’ajoutant aux incendies australiens, aux records de températures et à la pire invasion acridienne au Kenya depuis 70 ans. Notre destruction de la nature nuit à l'humanité.